3. Collecte de Données
3. Collecte de Données
3.1 Objectifs
Les objectifs de couverture minimum pour l’atlas sont présentés dans la figure 2. La couverture adéquate d’une parcelle implique l’atteinte cumulative des objectifs suivants sur la période de cinq ans du projet:
au moins 20 heures d’effort d’observation au plus fort de la période de reproduction (du 24 mai au 10 juillet dans le sud de la province; du 1er juin au 10 juillet dans le nord);
enregistrement d’un nombre cible d’espèces présentant des indices de nidification;
l’exécution de 25 points d’écoute dans la plupart des parcelles du sud de l’Ontario. Pour plus de détails, consultez les instructions relatives aux points d’écoute (à venir).
Dans la partie du nord de l’Ontario accessible par la route (régions 34 à 42, voyez la figure 2), l’objectif consiste à assurer la couverture adéquate de cinq parcelles dans chaque bloc de 100 kilomètres carrés et, dans le Grand Nord (régions 43 et 44), à assurer la couverture adéquate de deux parcelles dans chaque bloc de 100 kilomètres carrés. Des parcelles prioritaires ont été déterminées dans tout le nord de la province. C’est dans ces parcelles qu’il faudra concentrer les efforts dans la mesure du possible. Celles-ci sont montrées sur la carte de couverture (page en anglais); vous pouvez consulter votre CR pour déterminer où il est préférable de concentrer votre effort d’observation. Les parcelles prioritaires ont effectivement la priorité, mais la couverture de n’importe quelle parcelle du Nord est un apport précieux.
Une observatrice ou un observateur expérimenté peut assurer une couverture adéquate de la plupart des parcelles en 20 heures d’effort au plus fort de la période de reproduction; les observateurs moins aguerris auront besoin de plus de temps pour atteindre cet objectif. Bien que les 20 heures constituent une indication utile, au bout du compte la couverture adéquate est avant tout déterminée par le nombre d’espèces signalées dans la parcelle par rapport au nombre d’espèces susceptibles de s’y reproduire. Nous élaborerons sur cet aspect à mesure que la campagne se déroulera, mais pour l’instant, vous pouvez utiliser le nombre d’espèces signalées dans la parcelle en question dans le 2e atlas comme objectif provisoire. Vous pouvez établir ce nombre en calculant le total des espèces signalées dans le compte rendu de la parcelle pour le 2e atlas à (ici). Nous fournirons très bientôt de plus amples renseignements sur les objectifs quant au nombre d’espèces.
Une fois que vous avez couvert tous les types d’habitat et passé au moins 20 heures dans une parcelle (et, si vous effectuez des points d’écoute, que vous avez effectué les 25 points d’écoute si cela est requis), communiquez avec votre CR pour déterminer s’il faut assurer une plus grande couverture. Si vous préférez continuer à travailler dans la même parcelle, faites-le, mais si la parcelle est considérée comme couverte adéquatement, envisagez la possibilité de passer dans une autre parcelle s’il y en a à proximité où les objectifs de couverture n’ont pas encore été atteints. L’effort additionnel consenti aidera à compléter la liste des espèces qui nichent dans la parcelle et vous donnera l’occasion de hausser le niveau d’indice de nidification pour le plus d’espèces possible.
3.2 Comment participer
La collecte des données de base sur la nidification se fait au moyen de listes. Les participants suivent un protocole simple: une liste est complétée à chaque séance d’observation active conforme à une procédure unique dans une parcelle d’atlas. Dans l’application pour appareil mobile, les observateurs ont le choix entre trois protocoles: relevé stationnaire, relevé en mouvement et relevé fortuit, qui sont les mêmes que les protocoles d’eBird. Le relevé stationnaire consiste à demeurer au même endroit ou à se déplacer dans un rayon ne dépassant pas 50 mètres de cet endroit. Le relevé en mouvement, soit le type qui est réalisé le plus couramment dans les campagnes d’atlas, implique un déplacement sur des distances de plus de 50 mètres. Le relevé fortuit consiste à observer des oiseaux lorsqu’on ne s’adonne pas à l’observation en tant que telle, tel que décrit ci-haut sous la rubrique «Mentions d’observations accidentelles 1.3c». Les relevés stationnaires et en mouvement sont beaucoup plus utiles pour la recherche et la conservation que les relevés fortuits, et les relevés de courte durée et effectués sur de courtes distances sont plus utiles que les relevés plus longs. Il est tout à fait possible de compléter plusieurs listes dans une même journée.
Sur la page Web de saisie de données NatureCounts, et sur le Liste d'observations imprimable on trouve deux protocoles additionnels, soit celui de la recherche dans une zone, qui implique que la liste soit limitée à une zone particulière, comme un boisé, un milieu humide ou un champ, que vous délimitez en cartographiant la zone sur la page Web de saisie de données ou simplement en entrant des données pour toute la parcelle sans préciser d’endroit ou de tracé particulier. Cette dernière option, soit la parcelle dans son ensemble, est prévue principalement pour l’importation d’ensembles de données institutionnelles et n’est pas souvent utilisée par les atlasseurs. Les instructions pour la saisie de données sur la page Web sont fournies ici (en anglais seulement pour le moment).
Vous pouvez commencer et terminer une liste comme cela vous convient à l’intérieur d’une même parcelle, mais la liste idéale correspond à des observations menées sur une courte distance, soit moins de 5 kilomètres (le plus court étant le mieux), et dans un seul type d’habitat. Ainsi, une liste d’espèces (et le tracé correspondant) observées dans une forêt de conifères et une autre liste d’espèces observées dans un milieu humide ont plus de valeur qu’une seule liste combinant les deux. Toutefois, cela peut être ardu de commencer une nouvelle liste chaque fois qu’on change d’habitat; essayez de produire des listes de différentes longueurs pour voir ce qui vous convient le mieux, mais il faut se rappeler qu’il est préférable de produire des listes d’espèces observées sur des distances plus courtes et dans un même habitat.
Inscrivez les noms des espèces que vous observez sur la liste en inscrivant pour chacune le code correspondant au plus haut niveau d’indice de nidification possible. Dans le cas des oiseaux qui, de toute évidence, survolent la parcelle, aucun code n’est inscrit. Essayez de hausser le niveau d’indice de nidification pour chaque espèce, c’est-à-dire de trouver des indices de nidification probable ou de nidification confirmée pour le plus d’espèces possible.
Les espèces indiquées dans l’application, sur le site Web de l’atlas ou sur les listes imprimées sont celles qui sont le plus susceptibles de se reproduire dans une région donnée. Sur les listes imprimées, les espèces dont le nom n’est pas déjà inscrit sont ajoutées à la main dans les espaces prévus à cette fin; dans ces cas, il faut aussi remplir un formulaire d’espèces rares ou coloniales (voyez la section 3.4b ci-dessous).
Il est particulièrement agréable et utile d’essayer de compléter la liste des espèces qui se reproduisent dans une parcelle en faisant preuve de stratégie et en recherchant systématiquement de nouvelles espèces à ajouter à la liste. Une fois que vous avez trouvé la plupart des espèces communes de la parcelle, vérifiez le compte rendu de la parcelle en ligne (ici) et prenez note de toutes les espèces dont le nom est souligné pour indiquer qu’elles sont susceptibles de se trouver dans la parcelle mais que vous n’avez pas encore observées. Efforcez-vous de chercher les espèces en question dans l’habitat et au moment de l’année et de la journée où elles sont susceptibles d’être observées.
a) Quand participer
Les observations sont effectuées principalement au plus fort de la période de reproduction – de la fin de mai à la mi-août – en se concentrant sur le mois de juin. Toutefois, certaines espèces se reproduisent plus tôt dans l’année; nous vous recommandons de faire des observations en dehors de la période de pointe pour vous familiariser avec la parcelle et chercher ces nicheurs précoces. Consultez la liste des dates possibles et «sûres» dans l’annexe H pour savoir quand chaque espèce peut nicher dans votre région. Les observations peuvent être effectuées à n’importe quelle heure du jour, mais notez que beaucoup d’oiseaux ont tendance à être plus actifs tôt le matin qu’en après-midi. Nous vous encourageons à atlasser à l’aube, au crépuscule et la nuit pour augmenter vos chances de repérer les espèces qui sont plus actives durant ces périodes.
Le temps que vous consacrez à faire des observations en dehors des heures et des périodes de pointe (c.-à-d. quand l’ensemble des espèces nicheuses n’est pas présent) devrait être considéré comme du temps en surplus du nombre d’heures minimum fixé. Les observations en dehors des heures et des périodes de pointe peuvent comprendre des séances en début de saison ou la nuit et des relevés ciblés, comme les relevés de chouettes et de hiboux, d’engoulevents et d’oiseaux de marais.
b) Où participer
La carte de la parcelle (ici) fournit beaucoup d'informations sur les habitats dans la parcelle: boisés, milieux humides, zones urbaines, cours d’eau, étangs, collines et vallées, etc. Assurez-vous de passer du temps à explorer les habitats de tous les types et faites attention de ne pas surexplorer les habitats qui ne couvrent qu’une petite partie de la parcelle. Proportionnez votre temps de manière à représenter adéquatement les types d’habitat (les cartes des parcelles seront utiles à cet égard). Par exemple, si l’habitat forestier couvre 20% de la parcelle, vous devriez passer 20% de votre temps à visiter cet habitat.
Les parcs, les zones de protection de la nature et les autres aires protégées sont souvent riches en avifaune et fournissent de bonnes occasions de s’éloigner des voies de circulation. Nous espérons également que la couverture assurée pendant la campagne de l’atlas permettra d’évaluer dans quelle mesure ces aires contribuent à la préservation des oiseaux en Ontario. Nous vous serions donc reconnaissants si vous passiez un certain temps dans ces secteurs. Quand vous complétez des listes (voyez la section 3.4a ci-dessous), complétez une liste complète pour l’intérieur du parc, de la zone de protection de la nature ou de l’aire protégée et, s’il y a lieu, une autre pour l’extérieur de ceux-ci. Ainsi, nous pourrons comparer les listes.
La carte de couverture (page en anglais) présente un état à jour des parcelles qui ont été attribuées et de celles qui ne l’ont pas encore été, et permet donc de voir quelle couverture a été assurée dans chaque parcelle. Vérifiez la carte régulièrement et, si vous en avez l’occasion, concentrez vos efforts sur les parcelles où le degré de couverture est bien en deçà des objectifs fixés. Si vous communiquez avec les coordonnateurs régionaux concernés, ils pourront vous diriger vers les parcelles où les besoins sont les plus criants en ce qui touche la couverture du territoire.
Nous avons besoin de toute l’aide possible dans les secteurs éloignés des grands centres urbains, en particulier sur le Bouclier canadien et dans le Nord. Si vous avez un chalet ou un parc favori, considérez la possibilité d’atlasser dans les environs ou dans le parc et même de prendre charge d’une parcelle complète. Il y aura probablement des parcelles dans la plupart des régions où la couverture est inexistante ou faible. Les coordonnateurs régionaux organiseront des «corvées» pour aider à couvrir ces parcelles dans plusieurs régions. Les responsables de l’atlas, de concert avec les coordonnateurs régionaux, organiseront des corvées de grande envergure dans les parcelles où il y a peu d’atlasseurs en invitant des observateurs de toutes les régions de la province à y donner un coup de main pendant quelques jours. De l’information supplémentaire à ce sujet sera diffusée sur le site Web et dans l’infolettre de l’atlas.
3.3 L’application de l’atlas (NatureCounts)
L’application NatureCounts peut servir à compléter des listes et à recueillir des données de point d’écoute. L’annexe E fournit davantage d'informations sur la façon de l’utiliser, y compris des vidéos de démonstration. Les données entrées dans l’application sont transférées directement dans la base de données de l’atlas une fois que l’utilisateur les soumet, ce qui évite d’avoir à entrer les données en ligne une fois de retour à la maison. Nous espérons que cela vous donnera plus de temps pour effectuer des observations! L’application permet également de tracer automatiquement l’itinéraire parcouru pour la production de chaque liste. De plus, elle vous invitera à fournir de plus amples renseignements si vous faites une mention importante et vous avertira si vous entrez un code d’indice de nidification inhabituel ou inattendu pour une espèce particulière. Nous vous recommandons d’utiliser l’application NatureCounts le plus possible. L’information sur les listes présentée ci-dessous sous la rubrique «Formulaire d’indices de nidification» (section 3.4a) s’applique également aux listes complétées avec l’application.
a) eBird et l’atlas
Comme les données recueillies pour l’atlas sont compatibles avec eBird, vous pouvez facilement les téléverser dans votre compte eBird. Sur le site Web de l’atlas, une fois que vous avez ouvert une session, survolez votre nom d’utilisateur, affiché près du coin supérieur droit de l’écran, avec le curseur de votre souris puis sélectionnez «Profil» (ou cliquez ici pour aller directement à la page de votre profil). Au bas de la page se trouve une section se rapportant aux exportations vers eBird. Entrez les coordonnées de votre compte eBird et assurez-vous d’enregistrer le tout. Par la suite, le contenu de vos listes de l’atlas que vous aurez entré sera automatiquement versé dans votre compte eBird pendant la nuit suivante. Cliquez ici (à venir) pour visionner une vidéo montrant comment entrer les données de l’atlas dans eBird.
Il est possible d’utiliser eBird pour soumettre les données de l’atlas, mais cela nécessite des étapes supplémentaires pour fournir dans votre compte eBird les données manquantes relatives à l’atlas. Il est préférable d’utiliser l’application NatureCounts ou le site Web de l’atlas pour récolter et soumettre les données, car cela assure l’uniformité de la collecte de toutes les données et évite que vous, votre CR et les bureaux de l’atlas aient à franchir d’autres étapes. Pour obtenir de plus amples renseignements sur la façon d’envoyer vos données d’eBird à l’atlas, consultez l’annexe I et la vidéo à (à venir).
3.4 Formulaires
Il incombe à chaque participant.e à l’atlas de veiller à ce que les données récoltées soient entrées dans la base de l’atlas. Si vous n’utilisez pas l’application NatureCounts, vous pouvez utiliser les formulaires imprimés ou un carnet pour inscrire vos données. Par la suite, vous devrez transposer ces données dans la base de l’atlas sur le portail d'entrée de données du site Web de l’atlas ou au moyen de l’application NatureCounts: App Store or Play Store. Si vous prévoyez utiliser un carnet pour noter vos données d’observation, nous vous recommandons d’avoir une copie du formulaire de données imprimé sous la main pour vous indiquer tous les types de données que vous devez recueillir. L’annexe J présente des descriptions détaillées et des exemples de tous les formulaires de l’atlas. Les formulaires ci-dessous peuvent être visionnés sur le site Web de l’atlas et téléchargés.
a) Formulaire d’indices de nidification
Les noms des espèces d’oiseaux indiqués dans l’application, sur le site Web de l’atlas ou sur les formulaires représentent les espèces qui sont le plus susceptibles de se reproduire dans une région donnée. Si vous observez une espèce dont le nom ne se trouve pas sur la liste du formulaire, vous devez inscrire son nom dans l’espace libre prévu à cette fin, mais vous devez compléter un formulaire d’espèces rares ou coloniales (voir le point b) ci-dessous).
Si vous planifiez d’utiliser des formulaires imprimés pour produire vos listes, vous aurez besoin de plusieurs copies. Vous pouvez télécharger le formulaire depuis le site Web de l’atlas et l’imprimer chez vous. Voyez l’annexe J pour une description détaillée de la manière dont vous remplissez le formulaire. Assurez-vous d’inscrire tous les renseignements demandés au haut du formulaire. La durée d’une séance d’observation équivaut au nombre de minutes que vous ou votre groupe avez passé à faire de l’observation active dans la parcelle. N’inscrivez pas le temps passé dans la parcelle à mener d’autres activités que l’observation d’oiseaux, et cela même si vous avez noté la présence de quelques espèces ce faisant. Ces cas devraient être inscrits comme des observations fortuites.
b) Formulaire d’espèces rares ou coloniales et mentions repérées
Les observations d’espèces rares et de colonies de nidification nécessitent l’ajout de documentation supplémentaire (voyez des exemples dans l’annexe K). Ces espèces sont identifiées sur les comptes rendus de parcelles, les formulaires d’indices de nidification et l’application NatureCounts. Si vous faites de telles observations, fournissez le plus de détails possible, entre autres en expliquant comment vous avez identifié l’espèce, les comportements observés et toute autre information que vous jugez importante, et indiquez la position du lieu de l’observation avec le plus de précision possible. Quand vous entrerez les données en ligne, il vous sera demandé d’indiquer un point sur une carte ou d’entrer les coordonnées géographiques du lieu de l’observation. Toutefois, il est recommandé de noter la position pendant que vous êtes sur le terrain en utilisant votre carte de parcelle pour déterminer les coordonnées UTM, un appareil GPS ou une application de navigation pour appareil mobile. Il faut fournir de la documentation à l’appui des observations des types d’espèces suivants:
† Espèce rare à l’échelle provinciale. Documentation requise pour TOUTES les mentions de nidification.
‡ Espèce rare à l’échelle régionale. Documentation requise pour TOUTES les mentions de nidification.
§ Espèces d’intérêt. Documentation requise seulement pour les mentions de nidification CONFIRMÉE; cela comprend les espèces coloniales et les espèces en péril qui sont répandues.
Communiquez avec votre CR immédiatement si vous trouvez des indices de nidification d’une espèce rare; il pourrait être important de vérifier l’information ou de prendre des mesures de conservation et de réagir promptement. L’observateur et le CR concerné doivent garantir la confidentialité de toute information de nature délicate, par exemple la position exacte où un individu d’une espèce en péril a été observé. L’annexe L présente davantage d'informations sur les espèces sensibles et le code d’éthique pour l’observation d’oiseaux.
Pendant l’entrée de données dans l’application NatureCounts ou sur le site Web de l’atlas, il se peut que des mentions de nidification soient signalées par le système pour d’autres raisons que celles mentionnées ci-dessus. Par exemple, une espèce peut être considérée comme rare en fonction de la date d’observation, ou le nombre d’individus inscrit peut être un compte élevé. Certaines mentions peuvent aussi engendrer une demande d’ajout de détails supplémentaires en raison du code d’indice de nidification inscrit.
c) Formulaires de point d’écoute
Pour obtenir de l’information sur les formulaires de point d’écoute et la façon de réaliser un point d’écoute, consultez les instructions précises sur ce sujet (à venir).
3.5 Indication de position
Soyez toujours conscient de votre position sur le terrain! L’application NatureCounts intègre une carte qui indique votre position en temps réel pendant que vous patrouillez la parcelle. De plus, une carte de chaque parcelle est accessible sur le site Web de l’atlas (ici). La carte de parcelle contient la majeure partie de l’information topographique dont vous aurez besoin pour planifier vos sorties. Étudier d’avance la carte de la zone où vous prévoyez aller vous épargnera des efforts. Sur le terrain, vous pouvez marquer la carte pour indiquer où vous êtes allé.e pour éviter de travailler en double, et aussi marquer les points où vous avez observé des espèces importantes. Le portail d’entrée de données du site Web de l’atlas vous permettra d’indiquer où vous avez fait des observations en utilisant l’interface Google Maps.
Faites de votre mieux pour déterminer votre position exacte sur le terrain quand vous notez la présence d’espèces rares ou coloniales. Il est possible de déterminer les coordonnées géographiques avec précision au mètre près en utilisant un appareil muni d’un système GPS. Et vous pouvez indiquer les coordonnées UTM à 100 mètres près en utilisant la carte de parcelle. L’annexe M donne de plus amples renseignements sur la façon d’indiquer sa position.
3.6 Programme de suivi des nids d’oiseaux (facultatif)
L’information sur les nids d’oiseaux est utile aux auteurs d’études sur le succès, la biologie et la répartition de la reproduction. Nous vous encourageons à participer au Programme de suivi des nids d’oiseaux si vous trouvez un nid. Rendez-vous à la page Web du programme pour obtenir des détails. Pour éviter de compromettre le succès de la reproduction, il faut approcher les nids avec beaucoup de précaution. En suivant le code de conduite des participants au programme (ici - en anglais), vous courrez moins le risque d’attirer des prédateurs, d’endommager le nid accidentellement ou de faire fuir les parents.
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